Samedi on avait une envie de crêpes et de gaufres.
Les crêpes c'est prévu pour bientôt, j'ai donc opté pour l'option gaufres. Le grand problème est que j'ai beau avoir essayé 36000 recettesà chaque fois elles sont pas bien terribles et on est à mille lieux des gaufres que l'on achète sur les fêtes foraines.
Je me suis donc dit qu'il était tant que j'essaie cette recette de gaufres liègeoises que j'ai envie de faire depuis presque un an (vu sur le blog de la popotte de manue et paprika)
Franchement pourquoi je n'en ai pas fait avant? Ce sont les meilleures gaufres que j'ai mangé dans ma vie! Bref j'en referais très vite.
Pour 4 personnes Préparation : 15 min Repos : 30 min Cuisson : 3/4 min
Ingrédients :
375 gr de farine
135 gr de lait tiède
35 gr de levure fraîche
2 oeufs battus
1 pincée de sel
1 sachet de sucre vanillé
200 gr de beurre
250 gr de sucre perlé
Préparation :
Chauffez le lait (en garder un peu pour diluer la levure) et le beurre dans une casserole jusqu'à ce que le beurre soit fondu. Réservez.
Dans le bol de votre robot (ou dans un saladier) mettez la farine, la pincée de sel, le sucre vanillé et la levure que vous avez dilué avec un peu de lait tiède. Ajoutez les oeufs battus puis le lait-beurre.
Mélangez le tout et pétrissez pendant 5 minutes.
Incorporez le sucre perlé à votre pâte puis amalgamez le tout délicatement.
Couvrez-la avec un torchon et laissez-la se reposer 30 minutes à l'abri des courants d'air (j'ai mis dans mon four éteint).
Préchauffez votre gaufrier puis prélevez directement dans le saladier des boulettes de pâte (j'ai pris une cuillère à soupe) les disposer dans le gaufrier et laissez cuire vos gaufres.
Depuis que je suis maman j'ai remarqué
une chose : chacun essaie de nous imposer « leur »
éducation en sous étendant que eux ils font mieux et que
si chez toi ce n'est pas le pays des bisounours c'est parce que tu
t'y prends mal...
Sincèrement je pense surtout qu'il
y a une tonne de menteurs.
Le plus drôle c'est que ma mère
observe exactement le même phénomène sur les groupes de canins
de Facebook : chacun y a va de son conseil (qui est le
meilleur bien entendu), chacun à un
chien parfait et finalement en privé
ce c'est pas le même histoire....
Moi j'ai juste envie de leur dire
merde à ces gens (enfin non ça sera plutôt
TA GUEULE...)
Ma fille je l'élève comme je le
sens et surtout en respectant sa personnalité et son tempérament.
Alors oui des fois je râle, des fois je suis fatiguée mais ma fille
je l'aime comme elle est avec ses qualités, avec des défauts. Elle
sait être une vraie chipie ronchonneuse mais c'est aussi un vrai
amour.
Je pense que les gens ne veulent pas
toujours mal faire en partageant leurs conseils et leur
expérience. Le partage ça ne me gêne pas dire :
« voilà on fonctionne comme ça chez nous ça fonctionne ».
Ce qui m’exaspère c'est vouloir imposer les choses et que les gens
se posent quasiment comme des sauveurs. Chaque enfant est
différent,chaque famille est différente, ce qui
marchera parfaitement chez les eux sera un échec chez les autres.
Non il n'y a pas une manière d'éduquer un enfant, il y a des
manières. Dans une même fratrie ce qui fonctionne avec l’aîné
ne fonctionnera pas forcément avec le cadet.
Quand j'ai besoin d'aide je me
tourne vers l'expérience, c'est à dire ma mère qui a eu deux
enfants et c'est occupé de mal de gosses dans sa vie. Je lis aussi
régulièrement des livres d'éducation parentale, notamment sur
l'éducation positive. Alors c'est comme tout, tout n'est pas bon
à prendre. J'en prends, j'en laisse. Je ne dis pas non à un
conseil d'un autre parent à condition que ce ne soit pas fait
avec condescende. Quand au conseil des sans enfants, j'ai juste
envie de leur dire tu verras quand tu auras des enfants...oui on a
des idées précises sur les enfants, j'en avais aussi et un jour on
devient maman, on se rend compte que c'est le métier le plus
difficile au monde et qu'on se passerait bien des leçons des autres
(je vous jure c'est vrai...comme on dit avant j'avais des principes,
maintenant j'ai des enfants).
Il n'y a pas de méchancetés dans
ce que je dis, je ne blâme personne j'aimerais juste que les
autres comprennent qu'il y a une façon de dire les choses et
que nous parents nous sommes fatigués des « tu devrais faire
comme ça » ou bien de la psychologie de bas étage.
Et puis je suis comme ma puce si on me
prend dans le mauvais sens, tu te prends un grand vent.
il n'y a pas si longtemps à l'école
une maman m'a regardé de haut parce que ma puce boit un
biberon de lait le midi. Je m'en contrefiche mais ça reste toujours
désagréable. Alors oui ma puce boit plus de biberons de lait que ce
qu'elle mange. J'avoue que j'en m'en fiche je préfère la voir boire
un biberon de lait plutôt qu'elle se nourrisse de
frites/chips/nuggets/chocolat à chaque repas. Il est aussi hors de
question de la forcer à manger ou de la laisser sans rien dans
l'estomac je trouve çabarbare. L'incitation ça ne
marche pas avec elle (bien entendu que j'ai essayé, je suis pas
stupide) si tu lui mets un truc qu'elle ne veut pas dans son
assiette elle ne veut plus de son assiette, même si elle contient
des choses qu'elle adore. Je pars du principe qu'un jour elle
mangera. J'ai mis 16 ans pour manger des légumes, maintenant je
ne mange que ça. Je ne fais quand même pas la gaver comme une
oie...
Il y aussi son caractère pas facile,
chacun y va de son explication. Pourtant c'est simple,elle
navigue deux maisons et à chaque retour j'en bave. Et c'est le cas
de tous les parents séparés qui ont la garde principale, au retour
l'enfant teste et nous on souffre en silence. J'ai lu X témoignage
sur les forums et je vois sur instagram les mamans séparées ont
exactement le même soucis. Sérieusement comme nous adultes on le
vivrait, deux maisons avec des règles différentes ? Y a de
quoi pèter un plombs.
En plus je n'ai pas forcément un bon
caractère, son paternel non plus ça n'aide pas. A vrai dire je
préfère avoir une enfant qui sait s'imposer plutôt qu'une
introvertie qui se cache dans un coin.
2014 n'a pas été simple, j'ai du
apprendre à gérer les énormes crises de la mini. Non ce qui était
écrit dans les livres ça ne fonctionnait pas avec elle,j'ai dû
tâtonner, trouver la solution qui lui convenait à elle J'ai
pleuré, je me suis remise en question, j'ai pété les plombs mais
on a vaincu. Ça lui arrive encore d'avoir des crises, mais une fois
qu'elle est calme, elle vient contre moi et me dit doucement
« désolée maman d'avoir fait une crise ». Elle
sait qu'elle a le droit d'évacuer en criant, mais c'est dans sa
chambre. Hors « crise »j'ai une gamine adorable qui y va
à longueur de journée avec « ma maman chérie d'amour que
j'aime fort » et non c'est même pas pour être lèche cul
afin d'obtenir quelque chose. La dernière fois chez Casa ça a fait
rire une dame d'ailleurs, je lui ai expliqué que justement ce n'est
pas parce qu'elle voulait que je lui achète quelque chose. Alors
elle m'a répondu cette phrase adorable « c'est que votre
fille se sent bien et que vous faites du bon boulot ».
Il y a aussi le cododo... « Non
mais les enfants doivent dormir dans leur lit » on nous le
répète à longueurs de journée. Oui pis c'est dangereux, ça casse
la sexualité (bizarre j'ai des amies qui malgré le cododo ont un
second bébé...ben oui y a pas que le lit pour faire crac crac
quoi!) Oui j'avais des principes avant d'être maman...mais j'avoue
c'est bien plus confortable à 3h du matin d'allaiter au lit bien
installée : on se rendormait toutes les deux comme des bébés.
Quand la puce a grandi et a pleuré la nuit j'assume pleinement
d'avoir choisi ce qu'on appelle la facilité : la mettre dans
mon lit où elle se
rendort immédiatement et mes nuits ( ainsi que les nuits des autres)
sont préservées. Même maintenant si elle se réveille au milieu de
la nuit elle atterrit dans mon lit. Mais en attendant elle se
rendort avec un petit sourire de soulagement qui me prouve qu'elle
avait besoin de se rendormir contre maman. D'ailleurs des fois
je me réveille avant qu'elle pleure...cette anticipation
inexplicable persiste malgré les années.
Alors oui quand l'amoureux est là à 3
dans un lit de 140 c'est juste , je me retrouve souvent écrasée
au milieu mais tant pis elle va grandir et ca ira de mieux en mieux.
De plus en plus souvent maintenant elle fait ses nuits...enfin ça va
être une ou deux nuits pour une semaine de réveils mais ça
s'améliore. Et puis si ça gêne les autres tant pis. Je respecte
ceux qui ne font jamais de cododo, ça devrait fonctionner dans les
deux sens, non ?
On me regarde aussi de travers quand
j'emmène la puce en poussette à l'école. La première a me lancer
un regard noir c'est la maîtresse. Ben oui j'ose faire les aller
pour l'école en poussette. On a un bon kilomètre à faire et ainsi
on gagne du temps, pas besoin de bousculer la miss pour qu'elle
marche plus vite parce qu'elle s'est perdue dans ses pensées. Par
contre les retours comme on est moins à la bourre, on marche.
Je suis une maman louve. Je suis à
l'écoute de ma fille, trop pour certains mais je préfère être
comme ça plutôt qu'être une maman qui s'en balance éperduement de
son enfant et qui le laisse dans un coin grandir tout seul. Je crois
que je serais encore plus maternante si j'ai un second bébé. La vie
est assez moche comme ça, autant les couvrir d'amour et les
chouchouter pour qu'ils entrent dans la vie avec une confiance en soi
au top et qu'ils sachent qu'on sera toujours là peu importe ce qu'il
peut arriver.
L'éducation des enfants c'est souvent
un sujet tabou parce que justement les gens ne s'écoutent pas, ils
veulent imposer la leur, ce qui est bien dommage. Il n'existe pas une
bonne éducation, elle diffère pour chacun. L'important est
d'être en harmonie avec l'éducation que l'on transmet à nos
enfants, il ne faut pas se laisser influencer par les autres et
faire quelque chose à contre cœur. C'est nous qui sommes en
première ligne, c'est nous qui connaissons nos enfants, c'est nous
qui savons.
Ayez
foi en vous. N'hésitez pas à vous remettre en
question mais pas à cause du voisin ou de tatie Marcelle,
remettez vous en question parce que vous savez que vous pouvez
faire mieux.
Allez un peu de douceur avec une jolie boule de poil
Je continue sur ma lancée pour réaliser les délicieuses recettes de mon livre de la superette. Les roublards entendez par là des palets bretons tout ronds et croquants au bon beurre frais m'avaient fait de l'oeil la dernière fois que j'avais feuiletté mon livre. J'avais d'ailleurs acheté expressement en courses du beurre demi-sel pour les réaliser très vite.
Ma mini étant malade, je ne suis pas dans l'obligation de courir avec les horaires d'école et j'ai donc pu tranquillement après manger réaliser mes palets bretons maison (pendant qu'elle jouait avec beau papa sur la wii) Bon j'avoue ils ne sont pas ronds mes palets mais je n'avais pas d'emporte-pièces rond de la bonne taille...et puis l'important c'est le goût pas la forme.
Cette recette est vraiment simple et rapide. Normalement on est censé faire une vingtaine de palets, je vous avoue que j'ai des sérieux doutes. En respectant la hauteur de 1 cm et un diamètre correspndant au palet du commerce j'en ai fait 18...bon d'accord c'est presque 20...
L'amoureux et la petite chérie ce sont régalés, il n'y a pas de doute j'en referais à l'occasion. J'en ai goûté une bouchée, c'est vrai qu'ils sont à tomber (oui je cuisine mais je ne mange pas lol) .
Pour une vingtaine de palets
Préparation: 15 minutes
Cuisson: 20 minutes
Ingrédients:
250 g de farine
125 g de sucre bond en poudre
150 g de beurre demi-sel
2 jaunes d'oeufs
Préparation:
Préchauffez votre four à 180°c.
Mélangez la farine et le sucre dans un saladier.
Ajoutez le beurre ramolli et mélangez.
Ajoutez enfin les jaunes d'oeufs.
Prétissez la pâte jusqu'à obtenir une boule homogène.
Etalez la pâte à l'aide d'un rouleau à pâtisserie sur 1 cm d'épaisseur.
Découpez des disques à l'emporte-pièces.
Faites cuire au four pendant 20 min (pour moi à 190° avec mon mini four)
Fin 2014 une nouveauté a envahi les
rayons jouets des magasins : un sable « magique »
que l'on peut modeler et qui ne sèche pas.
Je l'ai découvert un jour par hasard
un matin en regardant les Maternelles, ça envoyait clairement du
rêve. Quelques semaines plus tard je l'ai vu chez Cora qui pour une
fois en avant mis en exposition. Miracle !
J'ai trouvé ce jeu intéressant :
ça change de la pâte à modeler et justement on ne fait pas la même
chose avec. Par contre niveau touché, moi je n'étais pas très fan de la texture mais ma mini semblait plus que conquise ainsi que tous les enfants
qui essayaient d'atteindre le bac de jeu.
Mais voilà le gros problème c'est
le prix. La plus petite boîte frôle les 25 euros et elle n'est
pas bien remplie...et on passe vite à des grosses boites qui
dépassent allègrement les 70 euros.
Bref même si ma puce et moi étions
conquise, vu les prix exorbitifs il était simplement hors de
question d'en acheter ou d'en commander au Saint Nicolas ou bien au
Père-Noël.
Et puis il a peu de temps, je suis
tombée par le plus grand des hasards sur une recette maison de ce
sable magique en me baladant sur le net (par contre je ne me souveins plus où).
Cette « pâte à modeler »
ne sèche jamais et elle est très douce au toucher. On peut la
sculpter, la compacter, et la manipuler à l'infini.
C'est une activité sensorimotrice par
excellence pour nos bouts de choux et en plus ce n'est pas salissant (au pire il faut un petit coup d'aspirateur). Le meilleur dans l'histoire c'est que la recette coûte trois fois
rien : il suffit de farine et d'huile (tournesol, amande
douce...c'est selon vos goûts et vos moyens).
Ingrédients :
8 tasses de farine
1 tasse d'huile
Préparation:
Dans un grand récipient, ajoutez 8
tasses de farine.
Ajoutez en plusieurs fois une tasse
d'huile tout en mélangeant bien à chaque fois.
On doit obtenir une pâte sableuse qui
doit s'agglomérer. Si vous parvenez à faire une boule c'est impec !
Une fois l'activité terminée, il
suffit de ranger « le sable » dans une boîte hermétique.
Et si jamais le sable sèchait un peu il suffira de rajouter un peu d'huile.
J'adore la texture de cette recette maison, en plus tout est comestible donc pas le moindre danger pour les enfants et je le repète c'est quasiment gratuit!
Ma mini a vraiment été ravie de cette activité, pourtant aujourd'hui ce n'était pas gagné vu qu'elle couve un vilain rhume.
Pour mon anniversaire j'avais reçu en cadeau le livre "les recettes de la super supérette" et honte à moi depuis le mois d'août je n'avais pas encore réalisé une recette de ce joli livre.
Hier à 18h, après un week-end en Alsace et le retour de ma puce, j'ai eu envie de pâtisser (pour changer), je me suis donc décidée à ouvrir mon livre à la cherche d'une recette. Je me suis arrêtée sur le sauvage un délicieux marbré chocolat vanille cousin du Savane mais en meilleur.
La recette est simple et plutôt rapide. On obtient un cake bien gourmand et moelleux. Ma puce en a déjà mangé plusieurs tranches à ma plus grande surprise (I'm so happy) et elle m'a expressément demandé d'en refaire.
L'amoureux aussi a été conquis par ce marbré savoureux.
Préparation: 15 minutes Cuisson:35 à 40 minutes
Ingrédients:
4 oeufs
150 g de sucre en poudre
125 g de beurre
2 cuillères à soupe de lait
150 g de farine
1 cuillère à café de levure
1 cuillère à café d'extrait naturel de vanille (l'arôme vanille fonctionne aussi)
100 g de chocolat noir
1 pincée de sel
Préparation:
Préchauffez votre four à 180°c.
Séparez les jaunes des blancs d'oeufs. Battez les jaunes avec le sucre. Ajoutez le beurre fondu, le lait puis la farine et la levure.
Répartissez ce mélange dans deux saladiers. Dans le premier, ajoutez l'extrait de vanille. Faites fondre le chocolat à feu doux ou au micro-onde et versez-le dans le second saladier.
Battez les blancs d'oeufs en neige avec la pincée de sel. Répartissez les blancs dans les deux saladiers, incorporez-les délicatement aux pâtes
Versez une couche de pâte vanille dans un moule à cake puis une couche de pâte au chocolat dans un moule à cake. Renouvelez l'opération. Faites cuire au four pendant 35 minutes; les deux couleurs se mélangeront joliment.
Hier en fin d'après-midi j'avais une furieuse envie de pâtisser mais je voulais une recette rapide car en parallèle il fallait que je prépare ma soupe de butternut et ma fondue de poieaux.
Je ne me rappelle même plus d'où provient cette recette, voilà des années que je la réalise sans me lasser tout en variant les saveurs selon le contenu de mes placards mais également pour varier les plaisirs.
C'est une recette simple et rapide, je dirais inratable à moins de laisser les muffins brûler dans le four. On peut la réaliser sans soucis avec des enfants.
Pour 12 muffins
cuisson 15/20 minutes
Ingrédients:
175 g de farine
100 g de sucre en poudre ou de cassonnade
1 sachet de levure
50 g de beurre
1 oeuf
100 ml de lait
50 g de noix de coco râpée
12 carrés de chocolat blanc
Préparation:
Préchauffez le four à 200° (th 6). Garnissez votre moule à muffins de caissettes en siliconne ou en papier.
Dans un saladier mélangez la farine, le sucre et la levure. Ajoutez le beurre fondu et prétrissez du bout des doigts jusqu'à obtenir un mélange semblable à des miettes de pain.
Dans un bol battez ensemble l'oeuf et le lait. Puis versez sur le mélanger de farine. Mélangez.
Incorporez la noix de coco.
Versez dans vos caissettes une cuillère à soupe de pâte puis ajoutez le carré de chocolat blanc au milieu et remettez une cuillère à soupe de pâte.
Faites cuire 20 minutes jusqu'à ce que les gâteaux soint bien dorés, levés et cuits à point.
Voilà maintenant 2 ans que j'ai trouvé THE recette pour la galette frangipane. J'adore tellement cette galette façon Michalak que je n'ai même pas l'envie d'en tester d'autres.
Cependant je reste curieuse de tester des galettes ayant d'autres saveurs que la frangipane. Pourquoi pas au chocolat? A la maison on est tous des chocolats addict et puis je me suis dit que ça ferait plaisir à ma mini.
Alors j'ai commençé à flâner sur Pinterest à la rechercher d'une recette gourmande . Je suis tombée sur une blogueuse qui avait réalisé une galette chocolat et fleur de sel d'un des derniers magazines Régal.
Je me suis dit "Tiens tiens si je remettais justement mon petit nez de pâtissière dans le magazine Régal de novembre/décembre 2014". Je vais chercher le dit magazine dans ma bibliothèque, je commence à le feuiletter et je tombe sur la recette. Il ne me restait plus qu'à m'atteler à sa réalisation.
Cette galette est composée de chocolat et de noisettes,un mélange souvent gagnant. Cependant au moment du montage de ma galette j'ai eu vraiment un gros doute sur la réussite de la recette car la garniture était plutôt liquide et à commencer à s'étaler sauvagement.
Hors une garniture qui s'étale c'est synonyme d'une galette peu garnie et par conséquent une galette qui sera sèche. A ce moment précis j'avais juste envie de toute mettre à la poubelle...mais comme je suis contre le gâchi j'ai persevéré et j'ai terminé ma recette.
Une fois cuite et découpée mes craintes ce sont confirmées il y avait peu de garniture, de ce fait la galette était assez sèche. Malgré tout elle n'était pas mauvaise mais je ne la referais pas parce qu'à la maison on est team frangipane.
Si jamais vous réalisez cette galette, je vous conseille de la faire dans un plat à tarte et non sur une plaque de pâtisserie ça évitera à la garniture de vouloir se sauver.
Je n'ai pas mis de rhum à cause de ma puce...qui finalement n'a même pas voulu de galette.
Pour 6 à 8 personnes
Préparation: 20 minutes
Cuisson: 40 minutes
Repos: 1h
Ingrédients:
2 disques de 24 centimètre de pâte feuilettée
1 fève
1 oeuf
pour la crème au chocolat à la fleur de sel:
10 cl de crème fleurette (100g)
50 g de chocolat à 70% de cacao
50 g de beurre frais à température ambiante
45 g de noisettes en poudre
1 gros oeuf à température ambiance (75g)
2 cuillère à café de sucre semoule (14g)
1 cuillère à café bombée d'amidon de maïs (Maïzena, 7 g)
1 cuillère àsoupe de rhum vieux (7g)
3 g de fleur de sel
20 g de chocolatnoir à 64% concassé
40 g de noisettes grossièrement concassées
Préparation:
Hachezles 50 g de chocolat en petits morceaux et mettez-les dans un bol. Portez la crème à ébullition. Versez-la en plusieurs fois sur le chocolat, mélangez. Réservez.
Mélangez le beurre pour obtenir une texture de pommade. Ajoutez la poudre de noisettes mélangée à l'amidon de maïs et au sucre semoule. Mélangez, puis ajoutez l'oeuf, le rhum, la préparation chocolatée et enfin les noisettes et le chocolat concassé. Assaisonnez avec la fleur de sel.
Assemblage
Avec un pinceau badigeonnez d'oeuf battu le pourtour de l'un des disques de pâtes sur 1,5 cm de largeur. Etalez la crème chocolat à la fleur de sel au centre avec une spatule de pâtisser en prenant soin de ne pas en mettre sur les bords. Placez votre fève et posez le 2e disque de pâte. Soudez bien les bords. Réservez 1h au réfrigérateur.
Préchauffez votre four à 180°C. Badigeonnez à nouveau d'oeuf battu le dessus de la galette.
En vous aidant d'un couteau pointu, incisez la pâte feuilletée pour dessiner un motif, en prenant garder de ne pas percer la pâte. Enfournez 35 à 40 minutes.
Il me restait une demie boîte de mascarpone dans le frigo et je ne savais pas trop quoi en faire. J'en avais utilisé une partie pour faire une chantilly mascarpone puis un gâteau de légumes...mais que pouvais-je bien faire des 150 g qui me restaient?
N'avais-je pas aperçu sur Pinterest des gâteaux au mascarpone? Mais en voilà une idée! Ni une ni deux je questionne Google et dégote une recette qui semble succulente. Problème c'est un cake au citron...ici les agrumes dans la pâtisserie on n'aime pas mais c'est pas ça qui va me bloquer il suffit de remplacer le jus du citron par de l'arôme vanille et le trou est joué!
La recette provient d'un très joli blog que je ne connais pas Aime et Mange aux photos et recettes des plus appétissantes. C'est vrai que moi je reste dans le basique pour les photos de mes recettes je ne prends pas vraiment le temps pour les faire et le plus souvent c'est avec mon téléphone portable que je les réalise car je les poste sur Instagram. Enfin le plus important finalement c'est que la recette partagée soit bonne, non?
Ce cake est sans gluten à condition d'utiliser une levure sans gluten.
Je vais garder cette recette précieusement car elle est vraiment délicieuse : ce cake est moelleux avec un doux goût d'enfance (qui me rappelle les barres bretonnes mais en mieux).
Ingrédients:
150 g de farine de maïzena
150 g de poudre d’amande
150 g de mascarpone
2 cuillères à café d'arome vanille
120 g de sucre de cassonnade
80 g de beurre
2 œufs
1 sachet de levure sans gluten
1 pincée de sel
Préparation:
Préchauffez votre four à 160°.
Battez ensemble le beurre et le sucre jusqu'à obtenir une texture pommade. Ajoutez ensuite les œufs un par un. Battez bien, la préparation doit devenir mousseuse.
Incorporez ensuite le mascarpone et l'arome vanille.
Ajoutez la poudre d'amande, la maïzena, la levure puis le sel. Mélangez.
On obtient une préparation assez compacte.
Versez la pâte dans votre moule à cake recouvert de papier sulfurisé.
Cette année, la littéraire que je
suis a décidé de se remettre à la lecture (oui j'ai quand même
fait un bac L et des études littéraires à la fac), je suis donc à
l'affût du livre qui m'absorbera, du livre qui me fascinera, du
livre qui me marquera.
Il y a une bonne semaine sur Instagram
j'ai aperçu en photo le livre La Vague de Todd Strasser. Ce
n'est pas le titre qui m'a interpellé mais la couverture du livre :
un aigle sur fond rouge et un sous titre des plus troublants « Cela
commence par un jeu et finit en dictature ».
Ma curiosité titillée je suis allée
immédiatement chercher plus d'information sur Google.
Voici le résumé de la
quatrième de couverture :
Pour faire comprendre les mécanismes
du nazisme à ses élèvres, Ben Ross, professeur d'Histoire, crée un
mouvement expérimental au slogan fort : « La Force par la
Discipline, la Force par la Communauté, la Force par l'Action. »
En l'espace de quelques jours, l'atmosphère du paisible lycée
californien se transforme en microcosme totalitaire : avec une
docilité effrayante, les élèves abandonnent leur livre arbitre
pour répondre aux ordre de leur nouveau leader.
Quel choc pourra être assez violent
pour réveilleur leurs consciences et mettre fin à la
démonstration ?
De toutes les
périodes de l'histoire la Seconde Guerre mondiale est la période
qui me fascine et me trouble le plus. Comment l'Homme a pu être
aussi cruel et barbare ? Comment les nazis ont pu assassiner des
millions de personnes ? Alors quand j'ai lu la quatrième de
couverture de ce livre je l'ai mis immédiatement dans mon panier
amazon et je l'ai vite commandé.
J'ai trépigné
toute cette semaine devant ma boîte aux lettres car j'avais vraiment
hâte d'entamer la lecture de ce livre.
Je l'ai reçu en
fin de matinée. Je l'ai commencé vers 15h. J'ai du faire quelques
pauses pour m'occuper de ma puce. Mais il est déjà terminé.Voilà bien longtemps que je
n'avais pas lu un livre quasiment d'une traite.
Ce livre est
brillant. Ce livre est parfait. Ce livre est criant de vérité.
La Vague se fonde
sur un réel incident qui s'est déroulé en 1969 pendant un cours
d'histoire au lycée de Palo Alto en Californie.
Ce roman illustre
bien comment l'être humain peut nier ses libertés individuelles et
son libre arbitre pour un sentiment de puissance et pour une pseudo
égalité, comment il est capable d'éliminer froidement les
opposants qui le menace, comment il impose la pensée unique pour le
bien de tous, comment il peut suivre aveuglément un leader qui ne
veut soit disant que son bien...
Je reste toujours
abasourdie quand je vois les gens abandonner leurs libertés sous le
prétexte de leur sécurité. Il n'y a pas longtemps des caméras de
surveillance ont fleuri dans ma ville à mon grand désespoir. Je
reste intimement persuadée que ce n'est pas une surveillance massive
qui arrêtera la violence (c'est mon avis, je ne l'impose à
personne) , au mieux ça la déplace au pire les voyous mettent une
cagoule. Quand j'emmène ma puce à l'école entre les caméras de
surveillance de la ville et ceux des banques je suis quasiment filmée
tout le long du chemin et ça me débecte profondément j'ai
l'impression d'être dans 1984 de Georges Orwell. Et que dire
des lois liberticides qui fleurissent un peu partout dans nos pays
développés sans que personne ne bronche puisque c'est soit disant
pour le bien commun (c'est surtout pour le profit de quelque uns).
La préface du
roman nous rappelle qu'on se doit d'être vigilant chaque jour pour
que « la bête immonde ne revienne pas » et qu'il
est nécessaire de lutter contre l'embrigadement.
Il suffit
malheureusement de regarder les actualités pour se rendre compte
qu'en 2015 la cruauté et la barbarie n'ont pas disparu et comment nos
libertés sont sans cesse menacées par la folie de quelque uns.
La Vague montre
bien comment l'Homme par fainéantise de réfléchir par lui même
préfère croire les salades qu'on lui raconte (après tout c'est
pour son bien) et suit le troupeau comme un mouton.
Le livre a également été adapté au cinéma.
Quelques
extraits :
« M. Ross ne nous manipule pas
du tout s'indigna Laurie. C'est l'un des meilleurs profs du lycée.
Il sait ce qu'il fait et, autant que je puisse en juger, il le fait
pour le bien de la classe. J'aimerais bien que d'autres profs soient
aussi intéressants que lui. »
«Elle n'arrivait toujours pas à
formuler ce qui la préoccupait dans le mouvement, mais elle se
sentait de plus en plus mal à l'aise. Quelque chose clochait. »
« S'il voulait vraiment le
mieux pour son équipe, il rejoindrait la Vague au lieu de harceler
Brian. Il joue trop perso, Laurie. Ce type ne regarde que son nombril
et ça n'aide pas du tout le collectif. »
« - David, ce que moi, je
n'arrive pas à comprendre, c'est que tout le monde ait perdu la
tête. La Vague a pris le pas sur tout le reste.
- Bien sûr. Parce que la Vague
est logique,Laurie. Et ça marche. Tout le monde est dans la même
équipe. Pour une fois, nous sommes tous sur un pied d'égalité. »
« Il y aura toujours des gens
qui ne voudront pas en être. Et c'est leur droit. »
« C'est dire à quel point la
situation avait dégénéré : on devait se cacher si on ne
voulait pas suivre le mouvement. »
« Il condamnait la Vague,
l'assimilant à un mouvement stupide et dangereux qui supprimait la
liberté de parole et de pensée, et qui s'élevait contre tous les
principes fondateurs du pays. »
« Tout le monde est devenu
obsédé par la Vague. Personne ne prend plus la peine de réfléchir
par soi-même. »
« Etait-ce là une faiblesse
de l'homme, qui le poussait à ignorer la part d'ombre de ses
semblables ? »
« La Vague avait aussi ses
bons côtés. Forcément. Sinon personne n'aurait eu envie de
rejoindre le mouvement. C'est juste que les autres n'en voient pas
les mauvais côtés. Ils pensent que la Vague rend tous ses membres
égaux, sans se rendre compte qu'elle nous prive de notre libre
arbitre. »
« Le fascisme ne se retrouve
pas seulement chez ces gens-là. Il est ici, en chacun de nous. »
« Nous sommes tous
responsables de nos propres actes et [que] nous devons toujours
réfléchir sur ce que nous faisons plutôt que de suivre un chef
aveuglément ; et pour le restant de vos jours, jamais, au
grand, jamais, vous ne permettrez à un groupe de vous déposséder
de vos libertés individuelles. »
Un livre de lu, plus que 11 pour tenir mon pari de livres 12 livres en 2015!
Je ne sais pas si vous connaissez le magazine Vital, un magazine féminin centré sur le sport (si je l'achetais au début, je l'ai délaissé lassée des articles de régimes et cie), sur le même concept est sorti le magazine Vital food décrit comme un magazine de cuisine saine pour des filles malignes.
Je n'ai pas pu résité à ce premier numéro, il est bien fichu et bien fourni. J'y ai surtout trouvé mon gâteau au chocolat de nouvel an, une recette du pâtissier Sébastien Bouillet.
C'est une recette simple,efficace et délicieuse, pas trop lourde pour une fin de repas et fraîche...bref que du bon.
Cet entremet au chocolat sur une base de brownie a eu un succès fou. Je vais garder précisieusement la recette (même si souvent à chaque occasion j'ai envie de tester une nouvelle recette). Je l'ai servi accompagné d'une chantilly au mascarpone.
Préparation: 30 min Cuisson: 20 min Repos: 2 h
Pour la base de brownie
Ingrédients:
1 oeuf (55g) à température ambiante
55 g de chocolat noir à 70%
65 g de beurre mou
115 g de sucre en poudre
2 g de sel
45 g de noix de pécan
45 g de farine
Préparation:
Faire fondre le chocolat autour de 50°c. Dans un saladier malaxer le beurre en pommade, puis ajouter le sucre et le sel sans trop mélanger. Incorporez l'oeuf, puis le chocolat fondu chaud. Ajoutez les noix de pécan puis la farine. Mélanger.
Déposer un cercle de 18cm de diamètre et de 4,5 cm de haut sur une place recouverte de papier cuisson (ça fonctionne aussi avec un moule à charnière de 15 à 18 cm). Verser la pâte bien régulièrement, lisser la surface.
Préchauffer le four à 190°, puis cuire le brownie à 170° de 15 à 18 min. Le sortir du four et laisser refroidir. Oter le cercle en le décollant du brownie à l'aide de la lame d'un couteau.
Pour la mousse au chocolat façon grand-mère
Ingrédients:
115 g de chocolatnoirà 70%
65 g de beurre
115 g de blancs d'oeufs (3 à 4 blancs)
35 g de sucre en poudre
Préparation:
Faire fondre le chocolat dans une casserole au bain-marie ou au four micro-onde. Ajouter le beurre en dés. Monter les blancs d'oeufs en neige avec le sucre jusqu'à l'obtention d'une texture bec d'oiseau: quand on soulève le fouet les blancs doivent former une pointe qui retombe.
Incorporer 1/3 des blancs en neige au mélange au chocolat-beurre,puis renverser le tout sur le reste des blancs et mélanger délicatement à la spatule.
Montage du gâteau
Découper une bande de 58 cm x 4.5 cm de papier cuisson et en tapisser les parois du cercle (nettoyé et froid) qui a servi à cuire le brownie.
Installer le brownie au fond du cercle, recouvrir de mousse au chocolat, de façon à arriver jusqu'en haut du cercle.
Lisser à l'aide d'une spatule en inox. Placer 2h au minimum au réfrigérateur et sortir 30 à 45 minutes avant de déguster.
C'était convenu avec ma maman qu'on irait avec ma puce toutes les 3
au cinéma pendant les vacances.
Mais voilà la première semaine ma mini était chez son père
ensuite elle est revenue avec une énorme bronchite qui l'a rendu KO
la majorité de cette semaine. Bref la séance de ciné était bien
mal partie.
Hier matin ma puce et moi nous étions enfin en meilleure forme (oui
les enfants sont généreux pour partager leurs virus) on a donc
enfin pu programmer notre séance cinéma samedi en début
d'après-midi.
Le choix de films/dessins animés était plutôt limité :
Paddington, le dernier Astérix ou bien les Pingouins de Madagascar.
Comme j'avais eu de bon retour sur Paddington nous avons arrêté
notre choix sur ce film.
Je vous avoue que j'avais un peu peur de m'ennuyer...eh bien non pas
du tout. J'ai trouvé ce film génial: petits comme grands ont ri tout
au long du film. C'était vraiment une très bonne détente.
Synopsis : un jeune ours péruvien fraîchement débarqué à Londres, à la
recherche d'un foyer et d'une vie meilleure. Il réalise vite que la
ville de ses rêves n'est pas aussi accueillante qu'il croyait. Par
chance, il rencontre la famille Brown et en devient peu à peu un
membre à part entière.
L'histoire est à la fois :
drôle..imaginez un ours dans une maison quoi!
poétique...ce petit ourson parvient à réunir une famille
triste et désunie. Il y a aussi par moment une vraie poésie dans
les images.
tout en critiquant notre société contemporaine : au
tout début Paddington attend une nouvelle famille au milieu d'un
quai de gare, c'est l'heure de pointe tout le monde le bouscule sans
ménagement...ça représente parfaitement ce côté je m'en
foutiste de notre société. Mais chut je n'en dis pas plus, je ne
vais pas tout dévoiler.
Alors bien sûr des fois c'est gros comme un camion et
incohérent...personne ne semble surprit de voir un ours à Londres mais justement tout ça mis bout à bout ça donne qui un très joli film est parvenu à me faire rire mais aussi à me toucher.
Paddington est vraiment trop mignon, on a juste envie de lui faire
des gros câlins. Par moment les expressions de ses yeux me faisaient
penser à la berger allemand de ma mère.
Dans ce film on retrouve des visages connus : déjà un acteur
de Downton Abbey (Hugh Bonneville) ainsi qu'une Nicole Kidman qui
joue à merveille la méchante de service.
On notera que c'est un film franco-britannique.
Si vous ne l'avez pas encore vu, foncez que ce soit avec ou sans
enfants!