vendredi 28 mars 2014

Cake à la banane et à la vanille {sucré}

Toujours la même histoire, des bananes en fin de vie à utiliser en urgences mais l'envie d'une nouvelle recette.

Ce cake est simple et rapide, le goût de la banane est assez léger. Il a plu à tout le monde à la maison.




Ingrédients:

  • 3 oeufs
  • 150 g de farine
  • 80 g de sucre roux (ça marche aussi avec du sucre blanc)
  • 1/2 paquet de levure
  • 100 g de beurre
  • 2 bananes
  • 1 cuillère à soupe de vanille liquide


Préparation

  1. Battre les oeufs avec le sucre puis ajouter le beurre fondu, la farine et la levure.
  2. Mixer les bananes et ajouter les au mélanger.
  3. Ajouter la vanille liquide.
  4. Verser la préparation dans un moule à cake beurré et fariné et faire cuire 30 minutes à 180°.



lundi 24 mars 2014

Gâteau magique à la vanille {sucré}

C'est un gâteau qui a énormément tourné sur les blogs et pages culinaires en 2013. J'ai toujours eu envie de le réaliser, j'attendais seulement la bonne occasion. 


J'ai profité d'une sortie chez des amis pour enfin le pâtisser. J'avais un peu peur du résultat vu mon four capricieux mais ça a été une belle réussite. YOUPI!


Le gâteau magique c'est 3 textures en un seul gâteau: flan, mousse/crème, biscuit. Ça fait son petit effet et c'est un vrai plaisir gustatif.


On peut varier les plaisirs en le réalisant au chocolat ou bien au citron, il suffit de taper "gâteau magique" dans la barre de recherche Google.





Ingrédients:

  • 4 œufs
  • 150 g de sucre
  • 1 cuillère à soupe d'eau
  • 125 g de beurre
  • 115 g de farine
  • 1 pincée de sel
  • 500 ml de lait entier (ça marche avec le 1/2 écrémé)
  • 1 cuillère à soupe de vanille liquide
  • Un moule de 18 cm de préférence


Préparation:
  1. Préchauffez votre four à 150°.
  2. Battez les jaunes d'œufs avec le sucre et la cuillère d’eau jusqu'à obtenir un mélange blanchit et mousseux. Puis ajoutez le beurre fondu tiédi en continuant de battre.Incorporez la farine et une pincée de sel.Ajoutez le lait et la vanille liquide. On obtient une pâte liquide.
  3. Montez vos blancs en neige bien fermement. Puis Incorporez les délicatement en plusieurs fois à la pâte à l'aide d’un fouet (ou le robot puissance 1)
  4. Versez votre préparation qui est assez liquide le mélange dans votre moule beurré et fariné.
  5. Mettre au four à 150°C pendant 55 minutes .
  6. A la sortie du four le gâteau a une apparence de flan pâtissier, légèrement tremblotant, laissez refroidir puis placez le au réfrigérateur pendant au moins 4 h, le mieux reste une nuit.
  7. Le démoulage se fait quand le gâteau est bien froid.




samedi 22 mars 2014

Ces nouvelles séries que j’ai abandonnées {série addict}

Cette année 2013/2014 je crois que je n’ai jamais vu autant de nouvelles séries sortir.

J’aime bien en essayer un maximum pour ne pas en rater une sympa. Si j’étais emballée par certaines, d’autres m’ont tout simplement déçue.


Reign :

1557. Après avoir passé plusieurs années dans un couvent sur le Mont St Michel, Marie Stuart, 15 ans, Reine d'Ecosse depuis la mort de son père alors qu'elle n'avait que six jours, fait son entrée à la Cour de France où son futur mari, le Prince François, l'attend. Accompagnée de ses meilleures amies, Kenna, Greer, Aillie et Lola, qui sont aussi ses sujets, elle est bien décidée à embrasser sa destinée. Cependant, elle découvre que sa vie est constamment en danger : on essaie d'abord de l'empoisonner, puis de la violer. Des forces obscures et mystérieuses semblent même l'entourer...




Ayant un gros faible pour les séries type ado de la CW, je me devais de tester. Le premier épisode m’a laissé une impression bizarre, je ne parvenais pas à déterminer si j’avais oui ou non aimé. Je me suis tout simplement endormie sur le second épisode et je n’ai eu aucune envie d’en voir la fin. Si le topo de la série n’est pas mal dans son ensemble cette série n’est faite que d’incohérences surtout sur le plan historique. Les filles se comportent comme dans Gossip Girl…euh allo on est au 16 ème siècle.. et ne sont absolument pas habillées en conséquence pour une série dite historique c’est un poil gênant. Enfin si ce n’était que ça, l’histoire entre la France et l’Ecosse est vraiment plus que révisitée (ça on dira que c'est typique des ricains). On rajoute par-dessus complot, magie, triangle amoureux…non franchement je ne veux pas voir un épisode de plus.

La série a été renouvelée pour une seconde saison à ma plus grande surprise.



The tomorrow people

Un groupe de jeunes gens appelés les "Tomorrow People" représentent la prochaine étape dans l'évolution de l'humanité : ils possèdent des pouvoirs, comme celui de communiquer entre eux par télépathie, de lire dans les pensées ou de se téléporter. Lorsque Stephen Jameson, un ado perturbé en pleine mutation, est recueilli par Cara et John, deux des siens qui maîtrisent déjà leurs capacités extraordinaires, il découvre l'histoire complexe de sa famille et son importance au sein de la guerre secrète qui oppose les "Tomorrow People" aux "ULTRA", un groupe qui veut les capturer pour le bien de l'humanité...



Si le premier épisode n’est pas trop mal je n’ai pas eu envie de poursuivre. Encore des adolescents qui ont l’air d’avoir 30 ans (enfin ils n’en ont pas que l’air vu que certains acteurs doivent avoir la trentaine).  Moi qui aime les super héros elle ne m’a vraiment pas emballé, après je n’ai accroché avec aucun personnage j’ai remarqué que si je n’apprécie pas au moins un personnage dans une série je ne parviens pas à m’y intéresser.


Intelligence:


Gabriel Vaughn est un agent très spécial à l'intelligence augmentée. Grâce à une puce intégrée dans son cerveau, il peut se connecter à l'ensemble du spectre électromagnétique : Internet, Wi-fi, téléphone, satellite. Une révolution technologique qui lui permet d'accéder à une mine d'informations et de détourner les pare-feux les plus redoutables. Un tel élément peut être assigner à des missions de la plus haute importance. Mais aussi être une arme très convoitée. Lillian Strand, à la tête de cette agence gouvernementale à la pointe de la technologie, engage Riley Neal, l'un des meilleurs éléments de l'équipe de sécurité Présidentielle, pour protéger Gabriel, assurer ses arrières et le recadrer au besoin lors de ses interventions à l'extérieur. Plutôt téméraire, le jeune homme peut en effet se montrer assez imprévisible et ignorer le protocole.




Cette série marque le retour du beau Josh Holloway de Lost. J’ai regardé d’ailleurs le premier épisode rien que pour voir ses beaux yeux. Le premier épisode m’avait conquis, même s’il me rappelait une autre série passée : Chuck. Certes les deux séries ne sont pas dans le même registre on a d'un côté un drama de l'autre une comédie. Les drama d’espionnage j’ai un peu de mal tout comme les séries policières. J’ai poursuivi malgré tout avec le second épisode qui fut une déception sans pareil puisque ce que je pensais être l’un des fils directeurs de la série est déjà résolu au second épisode.


Mom:

Christy, une mère de famille célibataire, tout juste sortie de cure de désintoxication, doit remettre de l'ordre dans sa vie. Mais sa mère, Bonnie, une alcoolique notoire avec qui elle n'a plus eu de contact depuis plusieurs années, refait surface et lui complique infiniment la tâche. Lorsque ses enfants et son boss s'y mettent à leur tour, rien ne va plus pour Christy... à nouveau !




J’avais déjà parlé de cette série comique. Après quelques épisodes je me suis lassée. J’ai toujours du mal avec les rires gras des sitcoms. Je ne les supporte que dans The Big Bang Theory. Pareil je crois qu’aucun personnage ne m’intéresse dans cette série où finalement tous les personnages sont des loosers qui ne sont même pas attachants.


Ravenswood:

Ravenswood, située à quelques lieues de Rosewood, est une petite bourgade maudite depuis des générations par une malédiction sanglante. Cinq adolescents ne vont pas tarder à découvrir la façon dont leurs vies sont liées et les plans que la ville leur réserve. Il leur faut déterrer les secrets du passé avant que la mort ne frappe une nouvelle fois.




Si j’adore Pretty Little liars, son spin-off m’a ennuyé au bout du second épisode. Je me demande encore quelle mouche les a piqué pour faire un spin-off. Quand j’ai appris que la série était annulée au bout de 10 épisodes, j’ai pris la décision de mettre à la poubelle. J'ai de meilleures séries en réserve pour le printemps.


Ressurection:

Le petit Jacob, un américain de 8 ans, est retrouvé au beau milieu d'un champ en Chine. Un agent du service de l'immigration est chargé de le ramener dans le village d'Arcadia où il a grandi. Lorsqu'il frappe à la porte de la maison familiale, ses parents n'en croient pas leurs yeux : leur fils est mort bien des années plus tôt et celui qui se présente à eux lui ressemble pourtant comme deux gouttes d'eau, comme s'il n'avait jamais vieilli. Rapidement, les Garland et leur entourage découvrent que le phénomène est mondial. S'agit-il d'un miracle ou le signe annonciateur de l'apocalypse ?




Le pitch est très proche de la série française les revenants en moins. Bref ayant déjà vu  les revenants et attendant la suite cette série ne m'intéresse pas. En plus je n'aime aucun des personnes. A noter le retour d'un des acteurs principaux de Doctor House: Omar Epps.

Bitten:

Photographe de talent, Elena Michaels apprécie mener une vie normale aux côtés d'un homme qui la rend heureuse. C'était sans compter sur le passé qui a pour mauvaise habitude de resurgir au mauvais moment. Car la jeune femme a des secrets. Elle déploie d'énormes efforts pour cacher sa véritable nature de loup-garou...




Si j'adore Teen wolf, cette nouvelle série de loup-garou m'ennuie profondément. J'ai pourtant regardé les 5 premiers épisodes mais non sérieusement impossible d'en regarder plus. L'héroine est insipide, j'ai juste envie de lui donner des claques à longueurs d'épisodes. L'intrigue m'assomme à un point inimaginable si bien que je pique à chaque épisode du nez.

vendredi 21 mars 2014

les 50 règles d’or pour se faire obéir sans s’énerver

Maintenant je regarde très peu les Maternelles, après deux ans de visionnage assidu on finit par tomber toujours sur les mêmes sujets ou sur des thèmes qui ne m’intéressent absolument pas et souvent j’ai cette impression que les sujets sont survolés. Enfin bref voilà. Cependant ça m’arrive après les dessins animés du matin de tomber sur le début de l’émission et un jour ils ont présenté un petit livre d’éducation « les 50 règles d’or pour se faire obéir sans s’énerver ».


La présentation efficace m’a donné envie  d’en savoir plus et après un petit tour sur amazon j’ai décidé de commander ce mini livre vu son prix dérisoire de 3,90 € .




Parce que ne plus m’énerver du tout c’est mon rêve. Même si ces jours-ci je redresse la barre, des fois j’ai l’impression d’avoir perdu toute ma patience. Je ne sais pas si c’est le fait d’être maman solo et de devoir gérer quasiment tout toute seule depuis 3 ans et demi. Je ne sais pas si c’est la fatigue ou mon moral parfois vacillant. Mais je ne veux plus m’énerver. J’ai toujours été patiente avec les enfants et il n’y a aucune raison que ça cesse.


L’avantage de ce livre c’est qu’il se lit vite. Ces dernières années j’ai bien du mal de trouver du temps pour  lire, un livre court et concis, écrit simplement et allant droit au but c’est pile ce qu’il me faut (oui le soir quand je suis crevée je fais ma feignasse, je préfère bien souvent regarder une série pour mettre en pause mon cerveau).


Ce livre se divise en 6 parties :

10 principes pour une autorité sereine. 
On nous explique qu’il faut avoir confiance dans son autorité naturelle, qu’être parent est un rôle à jouer, qu’il faut définir des règles simples et cohérentes, qu’il faut repenser les limites, qu’il faut former une équipe parentale soudée, que l’autorité ne rime pas avec brutalité, qu’il ne faut pas se laisser emporter par ses émotions et qu’il faut apprendre à l’enfant à gérer les siennes, qu’il faut développer le sens de l’obéissance de l’enfant.


10 recettes pour responsabiliser son enfant
c’est-à-dire comprendre son enfant et pourquoi il n’obéit pas, développer très tôt ses bonnes habitudes, éviter les comparaisons (ma mère me le fait encore parfois et franchement ça me gonfle à un point !), ne pas oublier que c’est la faute qu’on juge et non l’enfant. On nous rappelle que l’enfant n’est pas un adulte en miniature, qu’il faut développer son sens des responsabilités, qu’il faut un bon dosage entre responsabilité et culpabilité, que la culpabilisation favorise les mauvais comportements, qu’il faut valoriser les bons comportements.


10 astuces afin d’éviter bêtises et conflits. 
On nous rappelle que tout n’est pas faute ni bêtise, qu’il faut anticiper pour limiter les frustrations, qu’il ne faut pas hésiter à isoler un peu l’enfant jusqu’à ce qu’il retrouve son calme, qu’il faut égayer le quotidien. On nous apprend que la diversion est d’une efficacité redoutable et que ce n’est pas battre en retraite. Il faut à tout prix éviter de renforcer les comportements inadaptés, il faut montrer l’exemple.


10 conseils au quotidien : 
développer la confiance en lui de l’enfant, satisfaire les besoins de son enfant, survivre à la période du non en étant patient et flexible, gérer les matins difficiles, faire des repas des moments zens, faire que tout baigne, éviter les pièges mangeurs de temps, utiliser la technique du choix illusoire, garder la face dans lors de crises dans les lieux publics, apprendre à échapper aux crises à l’extérieur.


9 idées neuves :
 il n’y a pas de caprices avant 1 an, ne sanctionner que lorsque c’est grave et trouver la juste sanction, déjouer les pièges de la culpabilité, ne pas douter de sa légitimité, crier ne sert à rien, apprendre à mieux communiquer, ne pas négliger l’humour, ne pas crainte de perdre l’amour de ses enfants,


1 prescription fondamentale : en finir avec la fessée.



Bien entendu ce n’est pas en lisant un livre que tout rentre dans l’ordre. Un livre donne des pistes de réflexions et des conseils. Il permet de réfléchir sur nos mauvais comportements afin de les modifier.
Il ne faut pas oublier que les parents parfaits ça n’existent pas plus que les enfants parfaits. On fait au mieux pour apporter une éducation respectueuse  qui va permettre à l’enfant de se construire au mieux.



samedi 15 mars 2014

Non les femmes ne sont pas des salopes!

Ce matin alors que je comatais en buvant une tisane sur mon canapé à moitié malade j’ai eu envie de hurler en lisant cet article de Madmoizelle 


Il nous explique que Jack Parker a subi une agression sexuelle (la seconde en deux ans…)  dans le métro et elle a osé le raconter sur son blog. Elle s’en est prise plein la poire avec des commentaires affligeants, révoltants qui te donnent envie d’enfiler un balais dans le cul de certains pour voir s’ils cautionneraient toujours cette foutue culture du viol si chère à la France. Y a des moments où te dit que la France est pas plus évoluée que l’Inde pour ça…


Non mais sérieux on est en 2014 ! Ce n’est absolument pas normal qu’on accuse encore les femmes de provoquer leur agression parce qu’elles portent une jupe ou sont trop sexy. Ce qui me révolte le plus c’est quand ce genre de propos sort de la bouche de femme. Oui le sexisme ordinaire et ce qui va avec n’est pas que l’adage de certains hommes.


Y a marre qu’on se fasse traiter de salope à tout bout de champ parce qu’on veut, parce qu’on ne veut pas, parce qu’on marche en traçant, parce qu’on ignore les sifflements et les réflexions bien grasses.


Avec les années j’ai appris à tracer dans la rue, l’ipod sur les oreilles pour qu’on me fiche la paix tout en évitant le regard des gens.

Les seules fois où je me suis retrouvée seule en pleine nuit dans la rue j’ai couru pour arriver au plus vite en sécurité chez moi.

 Je me souviens encore de quand j’étais gamine. Ma sœur est rentrée d’une soirée et un gars la suivit en voiture. Alors qu’elle était sur le pas de la porte, il s’est autorisé à lui peloter le cul. A part que ma sœur, elle, fout des volées à des chevaux de 700 kg. Alors je peux vous dire que le cas il est reparti le nez bien en sang et il a du se sentir bien con aux urgences.

C’est en plein jour que je me suis faite emmerdée harcelée. Un jour en revenant de la fac, un gars dans le train à commencer à me draguer lourdement et à vouloir me tripoter, je lui en ai retourné une et il s’est barré dans un autre wagon. Je peux vous dire que j’avais hâte d’être chez moi.
 Ça m’est arrivé une fois un soir, j’étais avec une copine et le contrôleur qui était témoin s’est barré…vlà le courageux. Et pourtant on était en pantalons et pulls…

Bien entendu ce n’est pas les seuls évènements du genre qui me sont arrivés malheureusement.


Combien de joggeuses de se retrouver violées et tuées alors qu’elles étaient en sueur et en tenue de sport ? Alors faut arrêter cet argument que la femme est fautive car elle ose être sexy. J’aimerais me mettre au running mais quand je vois ces drames aux actualités, non j’ai trop peur.


Je pense d’ailleurs qu’un jour je m’achèterais un taser pour me sentir un poil plus en sécurité parce que mes clés en poing américain ça ne me rassure pas des masses.


Même en plein jour souvent je ne me sens pas pleinement en sécurité. Non les sifflements, les « t’es sexy » ça ne fait pas plaisir, ce ne sont pas des compliments, c’est du harcèlement de rue. Merde nous les femmes nous ne sont pas des bouts de viande et encore moins des objets sexuels. Est-ce qu’on emmerde les mecs qui se baladent à torse poil l’été ? Non ! Mais par contre si on met une jolie robe ou un short court on s’en prend plein la gueule.


Et non il est hors de question ne plus mettre de jolies robes parce que certains mecs ne savent pas gérer leurs pulsions et se comportent comme des hommes préhistoriques. Sérieusement ils aimeraient qu’on traite leur mère, leurs sœurs, leurs filles de la sorte ? Non ! Mais là ils répondent qu’elles se ne sont pas des putes. Oui en fait on en revient toujours au même on est des putes et des salopes, on a juste à la fermer et à se sentir flatter…

Je vous invite d’ailleurs à regarder ce petit film où la situation est inversée, je le trouve plutôt intéressant.



vendredi 14 mars 2014

Cookies au beurre de cacahuètes {sucré}

Ca faisait quelques temps que j'avais envie de regoûter le beurre de cacahuètes. Je me souviens en avoir manger enfant, mais je n'en garde pas un souvenir mémorable. Alors j'avais envie de réessayer surtout que j'avais vu qu'on pouvait faire des petits déjeuner sympa avec tartiner une fine galette de riz complet de beurre cacahuète et de recouvrir de rondelles de bananes.


Si j'aime la goût de la cacahuètes, ça ne passe pas en pâte à tartiner. Je trouve le goût un peu bizarre et c'est lourd et gras.


Bref du coup je me suis dit que j'allais pâtisser avec, faut pas se laisser abattre n'est-ce pas!


Après une tite recherche sur google j'ai trouvé une recette fort sympathique sur le blog la popotte de Manue (y a pas de doutes ce blog de cuisine est une valeur sûre) que j'ai réalisé ce matin. N'ayant plus de pépites de chocolat j'en ai fait maison avec du chocolat à pâtisser et j'en ai mis le double soyons fou (moi je suis une accro au chocolat surtout noir).

J'ai réalisé ma pâte à l'aide de mon robot à pâtisser.




Ingrédients:

  • 50 g de sucre roux
  • 50 g de beurre mou
  • 4 cuillères à soupe de beurre de cacahuète
  • 1 oeuf
  • 150 g de farine
  • 1/2 cuillère à café de levure chimique
  • 100 g de pépites de chocolat


Préparation:

  1. Préchauffez votre four à 160°C.
  2. Fouettez le beurre mou avec le sucre et la pâte de cacahuète. On doit obtenir un mélange crémeux
  3. Ajoutez l'oeuf.  Fouettez à nouveau. Ajoutez la farine et la levure puis mélangez pour obtenir une pâte homogène.
  4. Ajoutez les pépites de chocolat.
  5. Puis formez des boules en les calibrant à l'aide d'une cuillère à glace ou d'une cuillère à soupe.
  6. Déposez les boules de pâte sur une plaque à pâtisserie recouverte de papier sulfurisé, appuyez dessus avec le dos d'une fourchette et enfournez pour 12 minutes environ.
  7. Laissez reposer les cookies sur une grille. Les cookies sortent du four mous, ils vont durcir en refroidissant.







jeudi 13 mars 2014

Si l'éducation des enfants était simple ça se saurait!

L’éducation des enfants est un vaste sujet qui pèse énormément sur les épaules des mamans. Je dis des mamans car le plus souvent ce sont elles qui s’occupent le plus de l’éducation des enfants et la société à un regard très dur sur elles alors qu’elle a un regard plus doux sur les papas quand ils s’investissent.


Entre nos convictions, les conseils de notre propre mère qui aimerait qu’on reproduise son éducation et les méthodes modernes il y a des moments où je me sens plus que perdue surtout quand ma fille se transforme en petite furie.




D’après ma mère la solution c’est la force et la fermeté. Oui enfin par expérience c’est aussi la culpabilité et la peur. Ca je le refuse pour ma fille. J’ai des séquelles de cette éducation. Je ne blâme pas ma mère, être parent est une chose difficile, on fait au mieux mais je sais que je ne veux pas ça pour ma fille même s’il m’est arrivé de donner des fessées (mais ça c’est fini !). Parce que oui j’ai tenté par moment de désespoir et d’épuisement de suivre les conseils de ma mère à part que ça n’a pas le moindre effet sur ma fille, voire ça empire la situation.


Si je  me sens compétente avec les tout-petits, je me rends compte que les crises d’oppositions me paraissent à force insurmontables.  Ces derniers temps je me sens dépassée, j’ai peur de mal faire, je suis lasse des situations de crises,encore épuisée des travaux de mon appartement et de mon déménagement.  J’ai observé les techniques de super nanny à la télévision mais non ça ne marche pas plus avec ma puce. Elle s’en balance d’être punie, d’être isolée dans sa chambre…Quand mademoiselle fait une crise c’est une tornade, elle est capable de retourner certains meubles de sa chambre, de hurler pendant une heure…c’est plus qu’impressionnant. Je me suis retrouvée ébahie à voir autant de violence de sa part, me demandant d’où ça sortait parce que ok si ça m’arrive de crier (mais je me soigne), ici on ne retourne pas les meubles et on ne lance rien par colère.

image by http://www.100drine.be



J’ai commencé à lire les livres d’éducation.  Certains rigoleront en partant du principe qu’on n’en a pas besoin pour élever un enfant…dixit ma mère. Je préfère me remettre en question et chercher des solutions plutôt que de courir chez un pédopsy ou bien de baisser les bras.


Il y a des bouquins bien fichus même s’ils ne donnent pas des solutions toujours concrètes au moins on arrive à savoir ce qui peut se passer dans la caboche de nos enfants. Et des fois ils nous font prendre conscience de trucs tout bête par exemple on a tendance à avoir moins de tolérance avec nos enfants. Si un invité renverse un verre d’eau on va l’excuser, notre enfant on a tendance à le sermonner alors que la situation est similaire. Bref maintenant je prends quelques secondes de réflexions avant d’agir…est-ce vraiment grave s’il y a des miettes par terre, si elle ne veut pas mettre seule ses chaussures ?


Ces derniers temps je prends beaucoup sur moi. J’étais arrivée à un point de non –retour. Avec une moyenne de 2 grosses crises par jour et un coucher qui n’en finissait pas, je n’en pouvais plus et je m’en voulais de ne plus supporter ma fille. Le grand problème c’est que c’est quasiment tabou de dire qu’on n’y arrive plus avec cette fichue pression qu’on met aux mères. Même moi avant d’être maman j’avais un regard plutôt sévère sur les parents qui ne s’en sortaient pas avec leurs enfants et puis j’ai découvert la difficulté et la réalité de la chose.


Il y a des soirs où j’ai pleuré. Il y a des jours où je me confiais à ma mère et je me faisais sermonner parce que je refusais d’appliquer ses méthodes.





Les vacances sont arrivées, la puce est partie quelques jours chez son père (il parait que tout c’est bien passé comme toujours…ça j’y crois pas mais bon), j’avais l’utopie que les choses se tassent  à son retour. Mais non. Toujours des crises d’oppositions et surtout des crises provoquées par les frustrations. Un jour j’ai eu un flash de lucidité, la plupart des crises sont dues à de la frustration.


Alors j’ai pris sur moi, j’essaie d’être calme et posé. Je tente de ne pas crier mais y a des ratés. J’essaie de me refaire confiance et de trouver ma solution entre mes convictions et mes lectures.


Depuis une semaine ça va mieux, notamment le coucher. Ca faisait des mois que le coucher était un enfer. Je pensais que le problème était le petit lit et que ça passerait avec le grand lit. Oui mais non. Ca s’est même empiré. Malgré un bon rituel du couche bien huilé mademoiselle était capable de  hurler pendant des heures, elle se réveillait en pleine nuit en pleurant et finissait dans mon lit.


Et pis un soir j’ai décidé de me coucher à côté d’elle et de lui faire des papouilles jusqu’à ce qu’elle s’endorme. On vous dit toujours qu’un enfant doit savoir s’endormir seul. Que lorsqu’il pleure il faut aller le voir à 5, 10 puis 15 minutes…Elle est bien belle cette théorie mais je me rends bien compte aujourd’hui que le soir ma puce stressait de s’endormir toute seule. Depuis que je lui fais des papouilles jusqu’à ce qu’elle s’endorme le coucher est paisible et surtout elle ne se réveille quasiment plus la nuit. Quand le coucher était chaotique, ça troublait son sommeil.


Je ne sais pas si ma méthode va fonctionner longtemps. En attendant on est toutes les deux moins stressées le soir. La voir s’endormir avec le sourire c’est juste magique. Je pense qu’un jour je finirais par m’endormir à côté d’elle d’ailleurs.


J’ai trouvé aussi une astuce pour canaliser les crises, j’attrape ma fille et je le mets sur son lit ou le canapé. Je la sers fort dans mes bras et la relâche seulement quand elle est calme. Un jour dans Grey’s anatomy j’ai entendu qu’en serrant une personne en crise elle finissait par se calmer, il semblerait que ce soit vrai. Et comme ça mademoiselle ne fait plus sa « tornade ».


Bref tout ce pavé pour vous dire qu’on a le droit de se sentir dépassée, que ce n’est pas une honte, on est beaucoup à passer par là même si on ne le dit pas tout haut. L’important est de se relever. De trouver la solution qui nous convient et qui convient à nos enfants, car tous les enfants sont différents et ce qui marchent avec un ne marchent pas avec l’autres.


Je poursuis mes lectures, ça me fait réfléchir sur l’éducation que j’ai reçue et je sais ce que je ne veux pas reproduire avec ma puce. Je n’essaie pas d’être la maman parfaite, les mamans parfaites ça n’existe pas. Je tente de faire au mieux pour que ma maison soit celle du bonheur rempli de joie et d’amour.




dimanche 9 mars 2014

Beignets au fromage blanc {sucré}

Cette semaine c'était mardi gras, j'ai tenté une enième fois ma recette des beignets de carnaval tirée d'un bouquin de cuisine lorraine mais une fois de plus j'ai été déçue. Ils n'étaient pas mauvais, mais ils étaient tout plat, pas gonflés ce qui fait que le lendemain ils étaient déjà rances.


Je me suis mise à la recherche d'une autre recette. Il faudra à l'occasion que je tente la recette des bugnes de ma bible de la Pâtisserie mais en attendant j'ai été séduite par cette recette de beignets au fromage blanc. 


Elle est rapide, délicieuse et on obtient des beignets bien dodus et gourmands. Prévoyez juste un gros saladier pour faire la pâte et je pense que la prochaine fois que j'en referais j'utiliserais mon robot pâtissier.

Cette recette est tirée du site AZ cuisine.





Ingrédients pour environ 40 beignets :


  • 500 g de farine
  • 500 g de fromage blanc 
  • 4 oeufs entiers
  • 2 sachets de levure chimique
  • 4 c. à soupe de sucre
  • 5 c. à soupe d'huile de cuisson
  • 2 l d'huile



Préparation:

  1. Dans un saladier, mélangez la farine, le sucre et la levure.
  2. Formez un puits et mettez-y le fromage blanc, les oeufs et l'huile, mélangez tous les ingrédients. 
  3. Sans temps de repos, faites chauffer les 2 l d'huile dans un grand récipient, prenez avec 1 cuillère à soupe de la pâte et poussez délicatement la pâte dans l'huile, il est inutile de vouloir tourner les beignets, ceux-ci se tournent tout seul sans doute à cause du poids de la pâte,quand ils vous semblent assez cuits, sortez-les avec l’écumoire et déposez-les sur du papier absorbant et ensuite faites-les sauter dans un pot ou vous aurez mis du sucre (et éventuellement de la cannelle) pour les enrober.


Ces beignets sont très légers et peuvent aussi être faits avec du fromage blanc de chèvre pour les amateurs